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Couverture

Vidéo-verbalisation en Côte d’Ivoire où en sommes nous ?

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Ce projet lancé depuis le lundi 06 septembre 2021, à Abidjan, vise la répression des infractions au code de la route sur toute l’étendue du territoire national entre autres le non-respect des signalisations, le non-respect des vitesses maximales autorisées, la non-régularité des documents du véhicule, le non-respect des normes pour tous les véhicules en circulation et depuis le mois d’avril elle à la capacité et la possibilité de vidéo verbaliser les violations des sens interdit.

Après 10 mois de mise en œuvre de la vidéo-verbalisation, Ibrahima Koné directeur général de Quipux Afrique et du Centre de gestion intégrée a précisé que le nombre d’infractions se situe à 3 millions actuellement. invité de l’évènement [ L’UNBCI Reçoit acte 5 ] de l’Union nationale des blogueurs de Côte d’Ivoire.

Le dispositif déployé dans le grand Abidjan comprend des radars fixes, des radars mobiles embarqués, des véhicules avec les équipes de la Gendarmerie nationale et de la Police nationale  ainsi que des caméras de vidéo-verbalisation situées en priorité sur les axes les plus accidentogènes de la capitale.

Ces caméras radars sont équipées de système de lecture automatique des plaques, de panneaux d’affichage de vitesse, d’équipement de comptage, de classification de véhicules et de relevé de vitesse.

Evoquant les moyens de notification, il a fait savoir qu’il y a des SMS envoyés aux propriétaires des véhicules, une notification électronique principalement pour les entreprises et une notification physique où le contrevenant reçoit la contravention à domicile, comme lors de la phase pilote.

Ils en parlent : Vidéo-verbalisation : Entre 200 et 250 millions Fcfa d’amendes émises chaque mois

L’évolution du projet

En moyenne, nous sommes autour de 200 à 250 millions FCFA par mois», a indiqué M. Koné, précisant que sur ce montant émis, seulement entre 10 à 20% sont collectés. Ce faible niveau de recouvrement, a-t-il justifié, est dû à plusieurs facteurs notamment les vieilles pratiques dont les usagers ont du mal à se défaire.

Ibrahima Koné directeur général de Quipux Afrique

Il faut qu’on explique et qu’on sensibilise les populations. Il ne faut pas jouer avec une contravention. Il peut y avoir un volet judiciaire. Dans les pays développés, on fait attention à ces questions car l’affaire peut aller jusqu’à une comparution avec la saisie de votre compte », a sensibilisé le directeur général.

Ibrahima Koné directeur général de Quipux Afrique

Lire également : Lancement du projet  » Oxygène pour tous « 

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