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La carte Djamo est une carte visa qui fonctionne comme une carte prepayée. Il suffit donc de la rechargée avant de pouvoir dépenser dans les boutiques en ligne ou en magasin. La surfacturation dépend des transactions que l’on veut effectuer. Tout savoir dans la suite de cet article.

Lire aussi : Djamo : comment créer un compte ?

Ce qu’il faut savoir au niveau des frais elevés de Djamo

Depuis un moment, l’on assiste à une augmentation des fluctuations des taux de change partout dans le monde. Cela est dû à la situation actuelle du monde. Les taux de change varient en fonction de l’offre et de la demande, et plus les variations sont importantes, plus le coût de change aura tendance à augmenter.
Pour pouvoir offrir des services des cartes visas, Djamo travaille avec des partenaires bancaires. Ces variations ont ainsi entrainé une hausse significative pour ses banques partenaires.

Sachez qu’ en dehors de la zone UEMOA, djamo applique 200 francs de frais supplementaire pour tout paiement. Les autres frais dépendent de la dévise étrangère utilisée pour la transaction.
Par exemple: Si votre marchand se trouve en France , vous allez devoir faire le paiement en euros.
En ce qui concerne les frais de rejet, ils sont prélèvés lorsque vous effectuez un paiement pour fond insuffisant.

Djamo, une application reclamée

Depuis sa création, le but de l’application Djamo est de faciliter la vie à sa clientèle avec la carte Djamo. Tout en leur permettant de mieux gérer leurs argents , il existe de nombreuses transactions que l’on pourrait effectuer avec la carte visa Djamo.
Par exemple: payer le carburant dans les stations SHELL.


Pour satisfaire sa clientèle, Djamo travaille sur plusieurs solutions dont l’augmentation de son réseau de partenaire bancaire, afin de pouvoir réduire au maximum l’impact des Surfacturation surtout pour ses clients qui effectueront des transactions internationales. Mais pour l’instant, il est recommandé de privilégier les paiements en euro lorsque cela est possible.

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